G(t)=e(iπ)⋅(0→1)⋅(9+Lim x) = Mon équation symbolique de la grossesse. 😅🧠👁
𓂀 0 = ∅ → Le vide qui contient tout
𓂀 1 = ☉ → L’unité manifestée, l’étincelle
𓂀 π ≈ 3.141…∞ → Le cycle des mondes, la roue cosmique
𓂀 e ≈ 2.718…∞ → La croissance, le souffle vital
𓂀 i = √(-1) → L'imagination, l’espace créateur
𓂀 lim x → ∞ = = stagnation ✧ i = contorsion ✧ création.
𓂀 9= 3 3 3 = 1trim+2trim+3trim
(0, 1, π, e, i) Ce sont les fondations des maths et même de notre monde. Ils reviennent partout , en géométrie, en physique, dans les cycles de la vie.
Je ne prétends pas détenir la vérité mathématique. Peut-être que mon équation n’existe pas vraiment comme telle. Mais ce que je partage ici, c’est ce que je ressens. C’est ma réflexion, à la fois mathématique et littéraire. Une façon personnelle de voir les nombres non pas comme de simples symboles, mais comme des portes, des vibrations et des clés de création. C’est mon analyse, mon regard, rien de plus… mais c’est ainsi que je perçois l’univers
La grossesse pourrait se lire comme une équation vivante.
Tout commence par 0, le vide, le silence, et soudain 1, l’étincelle d’existence.
De ce passage naît un chemin du rien vers l’unité
Puis vient e, la loi de la croissance naturelle. Comme une racine qui pousse sans qu’on l’arrête, le ventre s’arrondit, le cœur bat plus fort, et la vie s’expanse selon une logique qu’aucune volonté ne contrôle.
Autour, π veille. Ce nombre des cycles, des cercles et des retours. Il rythme la grossesse en neuf mois, comme une danse cosmique entre la lune, le temps et le corps de la mère.
Mais il y a aussi i l’imaginaire. Cet espace invisible où l’enfant existe avant même de se montrer, où la mère projette, rêve, imagine déjà ce qui n’est pas encore. L’inconnu prend forme dans le secret.
Enfin, apparaît le 9, symbole de l’achèvement. La limite, le seuil où tout bascule. Le monde intérieur devient monde extérieur, et la graine se révèle en être.
Alors, la grossesse n’est pas qu’un phénomène biologique.
C’est une algèbre du vivant , un enchaînement mystérieux où le vide devient vie, où le temps se plie en cycles, où l’imaginaire tisse des ponts invisibles, et où la croissance suit sa loi propre.
Une équation sacrée où chaque constante n’est pas qu’un chiffre, mais une clé pour comprendre que porter la vie, c’est incarner les lois de l’univers lui-même.
Angelina Agathe ✒️